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Une semaine à Rhodes en mai

Ma très chère Grèce, Il y a quelques jours tu as fais la une de tous les journaux. Malheureusement non pas pour tes jolis paysages, ni la mer turquoise, ni pour ton Tzatziki frais qui rafraîchit nos repas, ou encore le bougasta qu'on dévore tiède au petit déjeuné. Si tu fais la une des journaux c'est parce que tes îles étaient en feu. Quelle tristesse de voir partir en fumée tes flans de collines, tes champs d'oliviers. C'est un véritable drame qui se passait sur tes terres ma chère Grèce. Et comme si cela ne suffissait pas, l es températures battent encore des records et l'été est loin d'être terminé. Rhodes, Corfou, Eubée sauvent qui peu. J'ai vue défiler sur mon écran des grecs et des vacanciers apeurés, des flammes qui ravagaient tout sur leur passage. L es cris de joie des enfants sur la plage étaient remplacés par des yeux tristes des habitants et des touristes évacués par la mer. Ma très chère Grèce, L'année dernière nous sommes revenus à  Rhodes